Le prodige congolais aux multiples casquettes

Ekwa Ekwa, un jeune auto-entrepreneur congolais

EKWA EKWA, LE PRODIGE CONGOLAIS AUX MULTIPLES CASQUETTES.

Le secteur musical en République Démocratique Congo prend de plus en plus de l’ampleur et fait parler de lui partout, malgré les vices qui le taraudent. Rares, jusque-là, sont les personnes qui s’y donnent à fond pour contribuer avec leur mental et esprit managérial et, aussi, encourager ces jeunes talents congolais qui peinent à trouver des propulsions sur l’échiquier professionnel.

Toutefois, Ekwa Ekwa en est un modèle-type et se démarque positivement pour soutenir ces jeunes talentueux, par des initiatives louables comme « Cover plus » pour la reproduction des titres des artistes congolais, « Jeudifreestyle » pour les chants, raps, tous fruits de Phone + et Jeunestalentscongolais243 qui soutiennent et encouragent les potentialités des talents en République Démocratique Congo, une double plateforme novatrice dans le secteur musical ou culturel.

Ekwa Ekwa quelque part dans la capitale congolaise : Kinshasa

EKWA EKWA ET SES DÉBUTS.

Né en République Démocratique Congo, influenceur, marketeur, directeur artistique, producteur musical et manager musical, Ekwa Ekwa œuvre dans le secteur musical, le plus phare et célèbre après le football dans le pays, par lequel il est notoire et où il se donne à fond pour relever les failles et vices qui rongent notre culture. Entre l’Europe et la République Démocratique Congo, où il a fait et fini ses études pour un diplôme de licence en comptabilité.

« Notre culture est en panne grave. Elle souffre de ce qu’on appelle “l’égocentrisme”. L’anéantir est le premier combat à mener pour la valorisation de notre culture. Une fois sortie de cette souffrance, laissez-moi vous dire que nous avons une culture prometteuse qui va exploser. Nous allons exploser positivement notre culture si nous enlevons l’égocentrisme » a-t-il confessé.

PARCOURS ÉLOGIEUX D’UN JEUNE CONGOLAIS.

Le prodige congolais aux multiples talents détient également un énorme record pour son parcours fascinant, inspirant et incomparable comme :

  • Chargé de logistique à l’Église du Christ au Congo dans la direction de bâtir (ECC/ BÂTIR) ;
  • Chef de la clientèle à Oracle Assistance ;
  • Chargé de finance à l’organisation de protection animale « Save Animals » ;
  • Marketeur au département de marketing virtuel chez Africell ;
  • Chargé de la programmation à Premium TV.
Le prodige Ekwa Ekwa fondateur de la structure Phone Plus

EKWA EKWA ET SES RÉALISATIONS À IMPACT VISIBLE.

Ekwa Ekwa, l’homme à plusieurs casquettes a également contribué à la culture congolaise parmi tant d’autres avec plusieurs réalisations, notamment :

  • La création de Phone plus (Phone +), très connu, qui suit de près les coulisses des personnalités publiques, les événements culturels, clash, buzzing, paparazzi pour les clarifier au grand public ;
  • La branche Émission dans Phone + pour révéler les vérités dites par les artistes et les personnalités publiques par le micro de Phone + ;
  • Jeunestalentscongolais243, une plateforme numérique multiculturelle ;
  • Cover Plus, une compétition virtuelle organisée ensemble avec toute l’équipe Phone + pour la reproduction de n’importe quel titre musical d’un artiste congolais pour soutenir les projets existants des artistes congolais ;
  • Jeudifreestyle, ensemble avec toute l’équipe Phone + pour chanter et raper.

Ekwa Ekwa projette avoir une très grande direction de marketing, une maison de management, de production musicale et événementielle pour le soutien aux activités culturelles qui valoriseront la République Démocratique Congo en aidant les talentueux et les talents négligés. Il invite enfin les jeunes talentueux à rester naturels, vrais et essentiels dans leurs productions.

« En tant que mécène et producteur, ma motivation est que nous restions naturels, vrais, essentiels et que nous évitions l’artificiel dans nos projets, nos vies et nos ambitions. Rester dans l’essentiel de son domaine est le reflet de l’excellence pour mieux faire, car la perfection à 99% est impossible » a-t-il conclu.

Total
0
Shares
Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Related Posts
Read More

Parler sa propre langue n’interdit pas d’en apprendre d’autres

Dans un pays comme le Sénégal, une langue, en l’occurrence le Wolof, s’est imposée à tout le monde, malgré la multiplicité des ethnies dans ce pays. Il suffirait que l’on décide d’enseigner dans cette langue et les choses se feraient sans heurt. Il en est de même du bambara au Mali, du Lingala en République Démocratique du Congo, du Minan au Togo et au Bénin, du Swahili dans de nombreux pays d’Afrique de l’Est, du sud et du Nord.